La cour d'appel de Reims a donné raison au Comité d'entreprise et déclare recevable la demande de suspension de la procédure de liquidation.

Elle a fixé au 9 septembre la date de jugement en cour d'appel.

Voir le jugement

L'union du 25/07/2013

France3 - JT 12h du 24/07/13

  Champagne-Ardenne

Voir le reportage du JT 12-13 de France3 le 24/07/13

France3 Champagne-Ardenne : Soutien à la lutte des salariés d'ODCF

  Champagne-Ardenne

Suite à la décision du Tribunal de Commerce de Reims, de liquider l'entreprise ODCF Wayne-Dalton, les salariés cherchent des soutiens pour défendre leur cause.Dans l'urgence, la maire de Reims, Adeline Hazan, a organisé une table ronde: avec les syndicat et le commissaire au redressement productif.

• Par Caroline Jouret
• Publié le 23/07/2013 | 10:41, mis à jour le 23/07/2013 | 11:34

© France 3 Champagne-Ardenne

Malgré toute la détermination et la bonne volonté de la municipalité pour soutenir et défendre les salariés d' O.D.C.F., la partie s'annonce difficile : Adeline Hazan, avoue avoir bien du mal à trouver le bon interlocuteur.

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L'usine Nouvelle - ODCF-Wayne-Dalton, cette usine rejetée par sa maison-mère

Par Timothée L'Angevin - Publié le 23 juillet 2013, à 16h46

© Wayne Dalton

Le fabricant de portes de garage ODCF-Wayne-Dalton, situé à Reims, a été placé le 11 juillet en liquidation judiciaire. Pour les 66 salariés de l'usine, la maison-mère, l'entreprise américaine ODC, détenue par le japonais Sanwa, a programmé cette fermeture. Ils exigent le réexamen du PSE proposé par le groupe, qui sera validé ou non mercredi 24 juillet par le tribunal de commerce de Reims. 

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N'oubliez pas,

Rendez-vous le mercredi 24 juillet à 11h00

devant la cour d’appel 

rue des capucins à Reims

Pour soutenir notre action en appel du jugement de liquidation prononcé le 11 juillet dernier.

L'Union du 22/07/2013 - Liquidation d'OCDF-Wayne Dalton : Adeline Hazan fustige la brutalité de l'annonce

         Liquidation d'OCDF-Wayne Dalton : Adeline Hazan fustige la brutalité de l'annonce

Publié le 22/07/2013

Par Caroline GARNIER

REIMS (51). Mise devant le fait accompli du placement en liquidation judiciaire de l'entreprise OCDF-Wayne Dalton, la maire de Reims, Adeline Hazan, a provoqué une table ronde afin d'évoquer, ce lundi, les possibilités de reclassement des 65 salariés touchés.

Le 11 juillet dernier, le tribunal de commerce de Reims prononçait la liquidation judiciaire de l'entreprise OCDF-Wayne-Dalton, spécialisée dans la fabrication de portes de garage connues sous la marque « Wayne Dalton », lâchée par sa maison-mère, une société américaine elle-même détenue par un consortium japonais qui n'a pas mis la main au pot pour combler un passif de 1,2 million d'euros.
Adeline Hazan, maire de Reims, choquée par la situation, a décidé, au regard de l'urgence, d'organiser ce lundi, à l'hôtel de ville, une table ronde en présence des représentants du personnel et de leur avocat, Me Brun, des organisations syndicales, ainsi que du commissaire au redressement productif. Le conseil régional a également été convié à y participer.
Placée devant le fait accompli
L'objet de cette table ronde est de recueillir les attentes des salariés afin que le plan social proposé soit à la hauteur du préjudice subi. Dans cette affaire, la maire de Reims n'a pas manqué d'exprimer « son étonnement le plus total devant la brutalité de cette décision et l'inaction manifeste des actionnaires américains et japonais. N'ayant eu aucun contact avec le groupe ou ses représentants, la collectivité n'a pas été en mesure d'examiner les possibilités de solutions alternatives à la fermeture du site. Une période d'observation aurait permis de combler cette carence. »
Placée devant le fait accompli, l'élue ne peut que « regretter la disparition de 65 emplois industriels alors que le territoire rémois rencontre de graves problèmes en matière d'emploi ». Et d'exprimer sa « solidarité aux 65 personnes concernées. Je m'engage à tout mettre en œuvre pour que le maximum soit fait dans l'accompagnement de leur reclassement professionnel. Par ailleurs, une solution de réindustrialisation du site devra être recherchée sans délai. »
Depuis l'annonce de cette liquidation judiciaire, les salariés d'OCDF-Wayne Dalton n'ont cessé de multiplier les actions afin d'attirer l'attention des élus et des pouvoirs publics pour qu'ils fassent pression sur leur employeur, dans l'espoir d'obtenir des indemnités de licenciement supérieures au minimum légal.
Dans cette affaire, leur avocat Me Brun a par ailleurs entamé une procédure en demande d'annulation de la décision de cessation d'activité, avec l'examen d'une requête devant le juge des référés de Reims fixée à mercredi.

France3 Champagne-Ardenne - Péage de Taissy : Nouvelle action des salariés d'ODCF-Wayne Dalton

  Champagne-Ardenne

Péage de Taissy (51) : Nouvelle action des salariés d'ODCF-Wayne Dalton

Une vingtaine de salariés d'ODCF - Wayne Dalton a bloqué le péage de Taissy ce jeudi après midi. Pendant plus de 2 heures le péage était gratuit pour les automobilistes de passage.

• Par Juliette Poirier
• Publié le 18/07/2013 | 18:27

© France 3 Champagne-Ardenne Le péage de Taissy gratuit suite à la manifestation des salariés Rémois de l'entreprise ODCF-Wayne Dalton.

L'action était à nouveau symbolique. En bloquant le péage de Taissy (51) , les salariés de l'entreprise ODCF-Wayne Dalton située zone Farman à Reims ont à nouveau tenté d'alerter le grand public et les élus locaux sur leur situation.
L'entreprise qui fabrique des portes de garage a été placée en liquidation judiciaire. Ils sont très inquiets quant à leur avenir.


Lundi 22 juillet à 15H ils sont invités à une table ronde à la mairie de Reims avec un représentant du ministère du redressement productif.

L'Union du 19/07/2013 - Opération « péage gratuit » avec les « Wayne Dalton »

         Opération « péage gratuit » avec les « Wayne Dalton »

Publié le 19/07/2013

Par F.C.

REIMS (51). Dans l'attente des lettres de licenciement après la liquidation de leur entreprise jeudi dernier, les 63 salariés d'ODCF - Wayne Dalton continuent de faire entendre leur voix.

Jeudi après-midi, de 14 à 16 heures, une vingtaine d'entre eux ont occupé le péage de Taissy à la sortie de l'A4 pour informer les usagers de leur situation, tout en leur permettant de franchir gratuitement la barrière. L'objectif était également d'attirer l'attention des élus, des pouvoirs publics pour aider au reclassement des salariés et faire pression sur l'employeur afin d'obtenir des indemnités de licenciement supérieures au minimum légal.
Table ronde lundi
Spécialisée dans la fabrication de portes de garage connues sous la marque « Wayne Dalton », l'entreprise ODCF de la zone Farman à Reims a été lâchée par sa maison mère, une société américaine elle-même détenue par un consortium japonais qui n'a pas mis l'argent au pot pour combler un passif de 1,2 million d'euros.
Une procédure en demande d'annulation de la décision de cessation d'activité est en cours, avec l'examen d'une requête devant le juge des référés de Reims mercredi prochain.
« On ne voit plus personne. On est abandonné de tout le monde. Les politiques, ils sont là quand ils ont besoin de nos voix mais après, plus rien ! », dénonçait mercredi après-midi Jean-Louis Galandon, délégué CGT du personnel et membre du CE. Son cri de colère a été entendu.
La maire de Reims a convié les « Wayne Dalton » à une table ronde organisée lundi à 15 heures en l'hôtel de Ville, avec un représentant du ministère du redressement productif.

L'Union du 18/07/2013 - Les licenciés d'ODCF au bord de l'explosion

         Les licenciés d'ODCF au bord de l'explosion

Publié le 18/07/2013

Par F.C.

REIMS (51). Les 63 salariés de la société ODCF, liquidée jeudi dernier, ont les nerfs à vif. Mercredi, la tension est montée d'un cran lorsque plusieurs d'entre eux ont posé des bouteilles de gaz sur des palettes prêtes à être incendiées.

«Les gars ont la haine. Ils sont prêts à tout faire péter pour rappeler qu'ils existent. On ne voit plus personne. On est abandonné de tout le monde. Les politiques, ils sont là quand ils ont besoin de nos voix mais après, plus rien ! Y'en a marre ! Ça risque de mal finir. »
Situation explosive, mercredi après-midi, devant l'usine ODCF ! Une semaine après la liquidation de leur entreprise, certains des 63 salariés envoyés à l'abattoir ont fait monter la tension d'un cran en déposant des bouteilles de gaz sur des palettes prêtes à être incendiées, un autre feu déjà allumé à proximité.
« Je suis pompier volontaire. Ces méthodes-là n'ont pas ma préférence », poursuit Jean-Louis Galandon, délégué du personnel et membre du CE, « mais il faut comprendre leur colère. Ils sont à bout. Ils ne savent pas ce qu'ils vont devenir. »
Installée rue Maurice-Hollande, en zone Farman, l'entreprise spécialisée dans la fabrication de portes de garage connues sous la marque « Wayne Dalton » a été lâchée par sa maison mère, une société américaine elle-même détenue par un consortium japonais.
Une perte de 1,2 M d'euros
La descente aux enfers fut brutale, avec une procédure d'alerte activée en début d'année après l'annonce de pertes voisines de 1,2 million d'euros. Jusqu'à présent, la maison mère avait remis les comptes à flot lors des précédents déficits d'ODCF, mais jamais le passif n'avait autant plongé dans le rouge. Le renflouage n'est pas venu.
Le 11 juillet, le tribunal de commerce de Reims en tirait les conséquences en prononçant la liquidation judiciaire d'ODCF : 63 personnes sur le carreau qui devraient recevoir leur lettre de licenciement la semaine prochaine. La justice saisie À tour de rôle, les salariés maintiennent une présence devant l'entreprise.
Mercredi après-midi, « le ton est monté d'un coup lorsqu'ils ont appris que la société concurrente allait récupérer nos marchés », explique Jean-Louis Galandon. « Les gars ont allumé un feu avec des palettes. Ils ont fait un deuxième tas à proximité en mettant des bouteilles de gaz dessus. On essaye de les calmer, de les contenir mais un jour, ça risque vraiment de péter. »
En début de soirée, les bouteilles ont été retirées. Parallèlement aux actions des salariés, une procédure a été engagée sur le terrain judiciaire pour obtenir l'annulation de la décision de cessation d'activité, au motif qu'elle aurait été prise avant même la consultation du CE. Premier acte mercredi prochain, avec le dépôt d'une requête devant le juge des référés de Reims.

Trac d'information distribué le 18/07/2013

FAILLITE PROGRAMMEE

66 SALARIES ET LEUR FAMILLE VONT SUBIR LES CONSEQUENCES D’UNE MORT PROGRAMMEE, ORGANISEE PAR LE GROUPE SANWA HOLDING CORPORATION, ET LA MAISON MERE OVERHEAD CORPORATION, LEADER DES PORTES DE GARAGE SECTIONNELLES.

Malgré un carnet de commandes plein (7.000 portes en commande ferme à ce jour), en sachant que la capacité de production est de 150 portes/jour. L’ensemble des salariés depuis début janvier effectuent des heures supplémentaires obligatoires afin de respecter les délais de livraison pour nos clients (Brico-Dépôt, Castorama, Leroy Merlin, Lapeyre….).

L’entreprise engrange des pertes « record », cette dette a commencé il y a 3 ans au moment du rachat de notre entreprise (9 Millions), elle s’accentue de jour en jour par le manque de marge sur nos produits. De nos jours, tout augmente (matière première, transport, énergie…). Pourquoi notre direction refuse t’elle de répercuter ces coûts sur nos prix de vente, malgré les multiples demandes des délégués.

Les salariés et le comité d’entreprise ont été prévenus la veille de l’audience au tribunal de commerce qui a eu lieu le 9 juillet au tribunal de commerce,  le verdict a été prononcé 2 jours après sans tenir compte des vices de procédure mis en avant par notre avocat Maître Brun et sans l’avis du comité d’entreprise. Le tribunal a prononcé une liquidation immédiate avec arrêt de l’activité sur le champ pour les 66 salariés et interdiction de pénétrer dans les locaux.

Le comité d’entreprise avec l’aide de son avocat a fait appel au jugement le mercredi 24 juillet afin de suspendre l’exécution.

Les salariés sont plus déterminés que jamais, voilà maintenant plus d’une semaine qu’ils occupent les lieux jour et nuit pour éviter le pillage de l’entreprise par le groupe (stock, produits finis, machines…).

L’ensemble des salariés appelle les pouvoirs publics, politiques et la population du bassin rémois à se battre contre la casse industrielle, car la crise ne peut pas être la seule responsable de cette situation. Contre les requins de la finance et pour soutenir l’ensemble des salariés :

Rendez-vous le mercredi 24 juillet à 11h00

devant la cour d’appel 

rue des capucins à Reims

  Champagne-Ardenne

ODCF- Wayne Dalton à Reims (51) : Salariés en détresse

Zone Farman, les 64 salariés de l'entreprise rémoise occupent le site dont la liquidation judiciaire a été prononcée le 11 juillet dernier.
Désespérés, ils craignent pour leur avenir.

• Par Juliette Poirier
• Publié le 17/07/2013 | 18:11

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REIMS (51) La grogne monte chez ODCF - Wayne Dalton

Les 65 salariés de la société ODCF propriété du groupe américain Wayne Dalton, craignent pour leur avenir et manifestent devant le site.  

France3 le 11/07/2013

  Champagne-Ardenne

Le tribunal de commerce de Reims prononce la liquidation judiciaire de l'entreprise ODCF

Les 64 salariés recevront leur lettre de licenciement d'ici une quinzaine de jours. Cette entreprise fabriquait des portes de garage sous la marque Wayne Dalton.

• Par Lionel Gonzalez
• Publié le 11/07/2013 | 17:39, mis à jour le 12/07/2013 | 10:50

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  Champagne-Ardenne

ODCF à Reims menacée de liquidation judiciaire : 64 salariés inquiets

L'entreprise qui fabrique des portes de garage est menacée de liquidation judiciaire. Une audience se tient ce matin au tribunal de commerce de Reims.

• Par Grégoire Schott
• Publié le 09/07/2013 | 10:49, mis à jour le 10/07/2013 | 14:42

© Sophie Dumay - France 3 Champagne-Ardenne

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         Social65 emplois menacés chez ODCF

Publié le 09/07/2013

Par L'union-L'Ardennais

Blog des Licenciés Economiques: Marne. Le tribunal de commerce de Reims prononce l...

Blog des Licenciés Economiques: Marne. Le tribunal de commerce de Reims prononce l...: Les 65 salariés recevront leur lettre de licenciement d'ici une quinzaine de jours . Cette entreprise fabriquait des portes de garage....

6 ème  jour d'occupation du site:

Jugement de liquidation

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